La différence entre traducteur et interprète

La plupart des gens ne font pas la différence entre l’interprétariat et la traduction : ils pensent qu’un interprète peut traduire et qu’un traducteur peut interpréter simultanément. En fait, ce sont deux métiers bien distincts. Leur point commun, c’est que tous deux servent d’intermédiaires qui facilitent la communication entre les personnes de différentes langues.

Bien sûr, ces deux emplois nécessitent des compétences linguistiques, mais il y a des points de différence à souligner. La première différence est que le traducteur traduit par écrit, tandis que l’interprète traduit verbalement.

Dans les réunions d’affaires, les congrès, les visites d’entreprises ou la présentation d’une déclaration devant un juge, par exemple, nous avons besoin de la figure de l’interprète. Dans la préparation documentaire de l’un de ces cas, nous aurions besoin d’un traducteur.

Le métier du traducteur

Si vous avez besoin de documents à traduire, vous devriez engager un traducteur. C’est celui qui travaille avec un texte et qui effectue une traduction écrite. Il ne sera pas amené à parler.

En plus de maîtriser les langues étrangères, le traducteur doit également avoir de bonnes compétences en écriture. Son travail prend un peu de temps, car il doit traduire le texte du mieux qu’il peut et avec fidélité. Certains documents nécessitent, par exemple, des recherches plus approfondies pour faire une traduction aussi proche que le texte original.

Un traducteur travaille sur toutes sortes de textes et documents. Il peut effectuer une traduction d’actes juridiques, de livres, de sites web, de fiches techniques ou autres. Son travail requiert une grande fiabilité et un plein respect des nuances de la langue. D’ailleurs, la qualité de la traduction dépend en grande partie de son professionnalisme.

Le métier de l’interprète

L’interprète est l’intermédiaire verbal entre plusieurs individus ou groupes d’appartenance linguistique différents. Il traduit dans la langue cible les énoncés exprimés dans la langue d’origine en termes de contenu, niveau linguistique, intention et tonalité. Il doit savoir transcrire correctement les nuances, les malentendus, les traits d’humour et les émotions des interlocuteurs. La qualité de son travail repose, en effet, sur ses capacités linguistiques, mais aussi sur le thème spécifique de la rencontre.

Il existe deux modes d’interprétation : la simultanée et la consécutive.

  • L’interprétation simultanée : ce travail est effectué soit dans la cabine donnant sur la salle de conférence, soit en présence des participants par chuchotage (chuchotement) à l’oreille. Pour la deuxième situation, l’interprète et l’orateur utilisent souvent un matériel d’écoute, comme des petits écouteurs.
  • L’ interprétation consécutive : le discours est traduit dans la langue cible, à intervalle ou à la fin de l’intervention de l’orateur. Ce travail peut ou non s’accompagner d’une prise de notes par l’interprète. Le mode consécutif oblige la personne qui parle à s’interrompre et à laisser à l’interprète le temps nécessaire pour intervenir à son tour.

Bien qu’il semble y avoir une nette différence entre ces deux métiers, est-il possible d’embaucher la même personne pour les deux tâches ? La réponse est OUI !

Agence de traduction et d’interprétariat, C.I.R (COMMUNICATION INTERNATIONALE ROZBROJ) propose des prestations personnalisées aux entreprises, collectivités et associations. Basée à Paris, la société existe depuis 1930, passant de génération en génération. Depuis sa création, elle a fortement développé et étendu sa clientèle sur ses trois activités principales : la traduction écrite, l’interprétation simultanée et la traduction consécutive. Actuellement, l’agence est composée de plus de 500 traducteurs techniques et travaille avec plus de 1000 interprètes de conférence. Elle intervient dans le monde entier avec des projets principalement en Europe, mais aussi en Asie et aux États-Unis. Pour davantage d’informations, vous pouvez appeler au 09 74 56 49 56.